Voilà une belle histoire comme l’on aimerait en lire plus souvent dans les brèves de nos journaux !
Ce fantastique récit c’est celui de Constantin, 29 ans. Ce jeune ingénieur informatique qui habite chez ses parents à Limoges, dans la Haute-Vienne, a retrouvé le sourire lorsque son pucelage, qu’il a affectueusement dénommé « Filou » est revenu par miracle au domicile du pauvre limougeaud après avoir été perdu deux ans auparavant lors d’un voyage en Thaïlande.
Mais parfois, même les pires aventures prennent les meilleures tournures ! L’odyssée du pucelage de Constantin va vous étonner !
« Il me suivait partout où j’allais »
C’est chez lui que le jeune geek a reçu les journalistes de ClodoNews, entre deux caresses auprès de son pucelage fraichement recouvré, Constantin narre les incroyables péripéties qu’il a vécu au plus profond de l’Asie du Sud Est : « On avait décidé avec mes amis de s’offrir des vacances bien méritées en Asie pour décompresser de l’ambiance morose du bureau et du temps de merde légendaire de Limoges. Bon au final, alors que j’étais déjà à l’aéroport, mes deux amis m’ont écrit sur Discord pour me prévenir qu’ils ne pourraient pas venir suite à un empêchement de dernière minute. Mais je vous jure que j’ai vraiment des amis en vrai ahah, ne vous méprenez pas c’est juste qu’ils n’ont pas pu venir, la malchance quoi. D’ailleurs si vous me lisez les gars j’attends toujours le remboursement des billets d’avion que je vous avais avancé il y a deux ans. Mais je vous met pas la pression je comprends tkt ahah ».

C’est donc seul que Constantin atterrît à Bangkok, la capitale Thai mondialement connue pour son rayonnement culturel, l’hospitalité de ses habitants et la grande sagesse de ses visiteurs. Seul ? Pas vraiment. En effet, Constantin malgré son âge avancé est venu accompagné de son légendaire pucelage. « C’était mon premier voyage sans papa et maman mais, pour les rassurer, ils m’avaient quand même recommandé de prendre Filou avec moi, on sait jamais. » relate le jeune acnéique.
Grand amateur de la culture asiatique, Constantin n’a pas choisi Bangkok par hasard : « Le tourisme sexuel ? Mon dieu quelle horreur ahah ! Non non, moi je suis parti en Thaïlande pour hum la culture tu vois et euh les paysages, très joli. Ah oui et on mange très bien là-bas d’abord« . Mais alors que son rite de découverte culturelle de la Thaïlande le mène au réputé « Super Pussy Ping Pong bar« , établissement prisé par la fine fleure de la population Thai, Constantin rencontre Bruce et Rocco, deux femmes autochtones « sensuelles et délicates malgré leur grande taille et la largeur de leurs épaules, ça m’avait interloqué sur le moment je vous avoue« .

Une discussion autour de quelques verres s’en suit, jusqu’au shot de trop et là… C’est le trou noir pour notre malheureux ingénieur : « Je suis réveillé au milieu d’une ruelle par des enfants à la dentition douteuse qui essayent de piquer mes bottes, en essayant de jeter quelques pièces au loin pour les faire dégager, je m’aperçois que je n’ai plus de porte-monnaie. J’ai également une cicatrice énorme au niveau de mon rein et je suis surtout cul nul, le fiak encore béant et douloureux. Mais le pire dans tout ça, c’est que mon pucelage avait lui aussi disparu. J’étais tellement triste, il me suivait partout depuis ma naissance vous vous rendez compte ? Ah je peux vous dire que j’ai bien regretté cette nuit d’enrichissement culturel… Comment allais-je expliquer à mes parents que j’avais perdu mon fric, mon pucelage et surtout que je m’étais fait baiser dans l’anus ? Heureusement que c’était avec des femmes d’ailleurs parce que, expliquer que j’étais devenu PD ça aurait été encore une épreuve de plus. Que c’est compliqué les relations amoureuses bordel, je préfère le codage c’est plus simple. »

« J’ai remué ciel et terre pour le retrouver »
Constantin se lance alors dans une quête désespérée pour remettre la main sur le pucelage qu’il chérit tant. Il s’empresse de se renseigner auprès de l’ambassade de France à Bangkok mais ses requêtes ne sont pas prises au sérieux. « Ils m’ont rit au nez sans que je comprenne pourquoi et n’ont pas fait le moindre effort pour m’aider. Y’à pas à dire, les français de l’étranger sont aussi cons que ceux de la métropole. Société égoïste de merde » nous confie le malheureux.
Contraint de retourner en France pour ne pas perdre son exaltant emploi, notre jeune voyageur ne baisse pas les bras. Usant de ses précieuses connaissances informatiques, il parvient à créer une page Facebook totalement dédiée au recueil de témoignages de personnes ayant vu le pucelage perdu. Il fait également appel à Google Maps pour réaliser une cartographie des alentours de Bangkok grâce à des drones ultra sophistiqués et va même jusqu’à employer les services d’un chien pisteur au flair réputé infaillible.

Mais tous ces efforts restent vains pendant deux longues années. Au final, c’est un évènement providentiel qui viendra sauver Constantin.
Un retour innatendu
Vivant reclus dans le domicile familial depuis son retour en France. Constantin est un homme meurtri par la perte de son être le plus cher et alors qu’il glisse dans la dépression et se jure de ne plus jamais faire confiance aux femmes de plus d’1m80, le jeune homme entend sa porte toquer.
C’est bel et bien son pucelage qui l’attend de l’autre coté. Plus de deux ans après une longue période de solitude et de rejet de la gente féminine, voilà que Constantin est de nouveau réuni avec son pucelage. Aussi incroyable que cela puisse paraitre, Filou a parcouru plus de 9500Km pour retrouver son maitre et semble être en bonne santé, probablement nourri par des inconnus pendant ces deux dernières années. Les deux êtres vivent maintenant paisiblement dans la chambre de Constantin et ont juré de ne plus jamais se quitter.
Quand ni les autorités compétentes, ni la technologie ne parviennent à leurs fins, la morale de l’histoire nous rappelle toujours que les liens qui unissent l’homme à son pucelage sont plus forts que tout.
Article rédigé par : Freddy les bons tuyaux