Jamel Debbouze pas drôle
Ce qu’il y’a de fascinant avec nous, ClodoNews, c’est que dans notre inlassable quête pour annihiler l’ensemble de la sphère humoristique française de merde, on se laisse aussi bien guider par notre libre arbitre que par les recommandations de nos chers lecteurs.
Oui messieurs, il est techniquement possible d’invoquer le courroux de votre rédacteur José pour que celui-ci vienne défoncer le stand-upper de votre choix. C’est d’ailleurs le rituel auquel s’est adonné un de nos abonnés, répondant au doux nom de « Anonyme » dans la section commentaire de votre journal préféré et qui exige la mort de Jamel Debbouze sur le champ, il nous sert d’ailleurs l’artiste sur un plateau :

Comment refuser ? On est comme ça nous, vous pouvez littéralement nous prendre pour vos putes et on s’exécutera. Avez-vous déjà vu un autre journal aussi proche de ses lecteurs ? Je ne crois pas. Mais trêve de tressage de lauriers, il est l’heure de reprendre notre dur labeur et de sacrifier une nouvelle victime sans défense en la personne de ce phénomerde de Jamel Debouzze qui pollue d’ailleurs l’espace télévisuel depuis bien trop longtemps :
On analyse l’humour mongolito de Jamel Debbouze :
Mais pourquoi il bégaye comme ça ?
Commençons par un point positif : Jamel Debbouze a une certaine originalité et a tenté de se créer sa propre personnalité.
Voilà pour ce qui est du positif. Mais maintenant, essayons surtout de comprendre comment cet ahuri a choisi de se démarquer du lot de tous ses collègues ratés : ce con a probablement choisi la pire stratégie possible en décidant d’inventer un bégaiement, totalement artificiel, aussi insupportable que distinctif et que tout le monde qualifie aujourd’hui de « bégaiement à la Debbouze » ou encore plus communément de « bafouilles à la fils de pute« .

Très bien tout ça, très bien… L’originalité est présente mais quid de la sincérité ? Non parce que c’est bien beau de jouer au petit alchimiste et d’expérimenter toutes sortes de concoctions comiques pour tenter de déclencher des rires gênés dans le public des plateaux télé mais quel est le but si, ultimement, ça reste de la merde ?
Jamel est donc un enfant, qui découvre le monde de l’humour en autodidacte et en sabotant toujours son apprentissage sans jamais découvrir la recette parfaite. Mais que quelqu’un l’aide bordel. Pitié que quelqu’un se dévoue et le prenne par la main restante pour lui apprendre la vie. Trouvez-lui un tuteur légal bordel. Oui je sais, ce sera tâche ardue car lorsqu’on se rend au centre d’adoption, on tend généralement à sélectionner l’enfant en bonne forme, qui présente bien et qui n’a pas de difformités physiques ou autre bégaiement de mongolien. Et comment blâmer cette pratique ? Un gosse c’est un pari sur l’avenir, on veut qu’il ramène de la thune plus tard et pas qu’il gesticule comme un lémurien atrophié derrière les vitres de la structure d’aide à l’enfance pour tenter de glaner notre attention et espérer rentrer avec nous dans son nouveau foyer à la fin de la journée.

Pour ainsi dire, le petit Jamel n’a pas encore terminé sa croissance. Ce fou furieux est bloqué au stade de l’enfance et il tient à le faire savoir sur scène. Clichés éculés et gesticulations nerveuses, véritable festival de grimaces sur fond de blagues de cour de récré… Tout y passe. Dans un certain sens, il tient plus du bruiteur professionnel que de l’humoriste. Confondant applaudimètre sincère et simple empathie face à son handicap et son retard mental, il pense toujours, dans son cerveau immature, qu’aligner trois accents forcés et une mimique surjouée suffisent à produire une œuvre comique.
Mais non sombre fdp, ça ne suffit pas. Jamais cela ne suffira. Et le pire c’est que ce gibet de potence se prend pour un pionnier. Sous prétexte qu’il survit depuis des décennies à la TV par un maléfice que nul ne sait encore expliquer, ce parvenu impudent se considère comme une sorte de déité de l’humour, le véritable créateur d’un style uniquement composé des mêmes tics scéniques qu’il recycle à chaque représentation.
En fait il nous prend juste pour des cons
Mais ne vous fiez pas à son allure de péquenaud issu d’inceste entre deux ruelles d’Agadir. Derrière son sourire malicieux, Jamel cache un esprit pernicieux qui a bien compris comment user du manque d’exigences du public français à son avantage.
Je pense sincèrement que cette âme perdue de Jamel a signé un contrat avec le diable pour obtenir sa célébrité. « Je te donne masse de pognon et une vingtaine de contrats pour des films, mais en échange tu ne renouvelleras jamais ton écriture. » ou alors « Tu sacrifies quelqu’un au hasard en le poussant sous un train mais en échange tu deviens la personnalité préférée des français pendant 30 ans. »
Dès cet odieux pacte acté, notre humoriste ringardos s’est mis a tourner en boucle dans toutes les salles de France. On se dit alors naïvement que le destin le rattrapera, qu’il ne pourra commettre ses atrocités indéfiniment et qu’un beau jour tout le monde comprendra la supercherie et qu’une sorte de procès de Nuremberg sera tenu spécialement pour lui afin qu’il puisse rendre des comptes sur ses crimes contre l’humour.

Mais même pas ! Jouissant d’une chance insolente, notre avorton a toujours réussi à conserver l’amour d’un grand public français encore trop lymphatique pour ne pas s’offusquer devant la médiocrité des spectacles qui lui sont proposés. Ces zombies sous perfusion d’humour sauce TF1 ne se révoltent même pas devant l’humour dégénérescent de ce golio de Jamel.
Car oui Debbouze est trisomique j’ose le dire. J’en veux pour seule preuve son humour. En effet, le simple trait d’esprit d’une personne me suffit à analyser son Q.I au chiffre près avec une précision chirurgicale. Et quoiqu’on en dise, l’humour de notre fifrelin n’est pas populaire, il est populacier. Il ne tire pas vers le haut, il simplifie. Il s’accapare des sujets déjà essorés par la quasi totalité de ses collègues malfaisants (et aussi nuls que lui), tels que l’identité, la banlieue et l’intégration puis réduit toutes ces thématiques à des grimaces de cour d’école et des blagues de gamin gênant. Son humour est une caricature de caricature, une sorte de blague méta sur ce que les français bourgeois pensent que les Arabes trouvent drôle. C’est de la facilité, extrêmement gênante et pénible à regarder pour toute personne de bonne foi mais malgré tout ça fait le taf pour des téléspectateurs en mode veille ou pour des professions libérales bobo parisiennes qui considèrent qu’un sketch de Jamel est le summum de l’impertinence. Je vous jure, ces enculés pensent qu’en adulant Jamel ils s’imprègnent soudainement de l’idée qu’ils se font de la culture banlieusarde et ils sont là, à s’extasier comme des lesbiennes repenties qui découvriraient leur tout premier vrai manche d’homme : « Oh oui Jamel redonne-moi des blagues sur le couscous de la maman« , « Oui Jamel je veux plus de marqueurs sociaux« , « Pitié Jamel encore ! Encore plus d’éléments déterminants de l’identité au fond de ma gorge de CSP+ je t’en supplie« .
Jamel Comedy Club : Les enfants de Jamel
Et nous n’avons pas encore abordé le pire dans l’analyse de la carrière de Jamel. Le comble de toute cette mascarade est que ce criminel en puissance, fort de sa position de fondateur de l’humour de merde, a enfanté toute une légion de clones tout aussi avides que lui de popularité rapide. Ces engeances démoniaques s’exercent dans un lieu maudit, une sorte de faille dans le continuum espace temps, un territoire damné appelé le Jamel Comedy Club.
Pour narguer le putain de rédacteur rageux que je suis, et me foutre encore plus le démon, certains plaisantins diront que Jamel a ouvert des portes. Certes petit con, certes… Mais pour moi, il a surtout refermé le cerveau de toute une génération de jeunes humoristes formatés par le style Jamel Comedy Club pour cracher du sketch calibré « diversité friendly » et « blagounettes qui dérangent mais qui en fait ne dérangent pas », à mi-chemin entre le one-man-show de quartier et le discours moralisateur du spectacle de fin d’année scolaire des CP.

Il a complétement bousillé la matière grise de toute une nouvelle vague de comiques. Personne ne lui avait rien demandé, il aurait très bien pu faire sa carrière tout seul dans son coin et s’arrêter une fois qu’il avait assez de fric pour s’acheter un Riad luxueux au bled avec esclaves compris mais non, il a fallu qu’il nous casse les couilles jusqu’à la fin et qu’il pervertisse le futur, déjà bien sombre, de nos humoristes en les convertissant au culte de la blague Netflix-compatible où l’on apprend à bien caler son « Inch’Allah » toutes les deux phrases, dans le bon rythme comme un bon toutou pour s’assurer que le public déjà acquis rigole, même s’il n’a rien compris car il est juste là pour faire semblant de s’imprégner de la culture.
Les notes pour Jamel Debbouze
La note de la rédac’ : 0/10
Jamel, c’est un peu comme une appli préinstallée sur le téléphone. Personne ne l’a demandée, elle s’est calée là après trop d’exploration sur d’obscurs sites vérolés, on se sais pas à quoi elle sert, mais elle est là. Inamovible. Inexplicablement là et on ne peut s’en débarasser.
Et ceux qui rient encore à ses sketchs ? Ce sont les mêmes qui pensent que « rire, c’est déjà un acte politique« . Non Ducon Lajoie. Rire je veux bien, mais on est censé s’esclaffer devant quelque chose un minimum intelligent, subtil, imprévisible… Trois choses que l’humour de Jamel Debbouze n’a jamais été, et ne sera jamais. Tu ne vas pas me dire que tu sens comme Che Guevarra parce que tu viens d’entendre « Amstérixsme, Amstérixsme, eugneugneu je sais pas parler parce que je suis Arabe t’as vu MDRRRRR » répété en boucle jusqu’à ce qu’on deviendre fou ma parole ? Tu te sens intelligent ? Tu te sens politisé fils de pute est-ce que tu te sens politisé bordel de merde répond ??
La note du public : 5/10 ⭐⭐⭐⭐⭐
Un grand monsieur ! Un artiste hilarant qui ne manque pas de culot ! Il est quand même allé jusqu’à dire aux imams qu’il fallait légaliser le cochon dans le Coran ! Non mais vous vous rendez compte ?
On a bien ri.
Bises, »
Wesh les gens, j’sors du spectacle de Jamel là… frère, j’suis deg. J’te jure, j’ai cru j’allais bien dahak bah wallah c’était la honte. Genre… le daron de la comédie qui te sort encore des vannes sur les daronnes, les babouches et le couscous. Sérieux ? On est en big 2025, pas en 2003 mon reuf. Il fait le mec de la cité mais ça fait 20 piges qu’il a pas vu une vraie barre d’immeuble. Sur le coran il fait le chaud sur scène mais dans la rue je l’encule. Bah ouais mon gars t’as voulu jouer la rue.
Et puis les blagues, frère… j’sais pas si c’était un spectacle inédit ou une rediff de ses anciens sketchs. Toujours les mêmes têtes c’est rincé… Bref, la street valide pas. J’le respecte pour le chemin qu’il a fait, wallah, mais là il est resté bloqué.
De plus j’ai ouï dire qu’il avait fait des blagues haram, un truc avec du cochon dans le Coran wlh j’ai pas bien capté. Si c’est vrai c’est très grave et la foudre d’Allah va s’abattre sur sa tête (avec un peu d’aide de ma part, si vous avez son adresse je connais 2-3 tchétchènes pour aller faire le sale boulot à la place d’Allah). »
La note de Laurent Ruquier : 2/10 ⭐⭐
Il y a de la bonne volonté. Il saute, il crie, il gesticule comme un Pierre Palmade sous ecstasy, mais rien n’y fait. Je préfère vous le dire tout de suite : il aurait mieux fait de rester assis que Debbouze sur scène *rires*.
Je me suis dit : « Lolo, sois pas vieux jeu, ouvre-toi, rigole un peu. » et vous savez comme j’aime m’ouvrir habituellement, mais là, ça rentre pas. Il aurait du appeler son spectacle « Maintenant ou Jamel » et franchement j’aurais préféré ne Jamel voir ça *rires*.
Ah oui, y’avait un moment sur le cochon dans le Coran. J’ai bien aimé. Non, j’déconne c’était d’la merde.
Mais bon comme je suis gentil je donne quand même 2 étoiles à Jamel ou plutôt devrais-je dire… je lui donne deux bouses *rires*.
Article rédigé par : José 




La faute à la SNCF tout ça…
Toujours dans les mauvais coups ceux là
v
Bonjour si je vous parle c’est tout d’abord pour vous remercier de vos articles distribuants des gifles éducatives au personnes se croyant droles alors qu’ils le sont autant qu’une personne sous anti depresseur, bref Clodo news y’a un magazine Rosbif, ça s’appelle le « Beano » et meme si c’est pas dans notre langue et que c’est pas des stand upper, ils meritent LARGEMENT de se faire atomiser comme M. Labouzze sur ce Bonne continuation.
Merci pour cette recommandation. Nos enquêteurs les plus sérieux vont se pencher sur le sujet et cela pourrait bien résulter dans un nouvel article destructeur
Merci Clodo News ça fait plaisir !
Signé un lecteur fidèle
salut a toi l artiste . Tu as vraiment rédigé cet article que je t avais d ailleurs suggéré (comme tu l as dit au début) et putain c est un régal . Ce connard de labouse méritait vraiment de s en prendre plein la gueule tellement il m insupporte et tu l as méchamment démonté comme je le souhaitait . longue vie à vous clodonews vous déchirez tout . Occupe toi de dubosque dès que t as un moment pour encore me faire plaisir (et pas que a moi certainement) ok ? merci mec
Merci pour me l’avoir recommandé ! Ce fut un plaisir de l’annihiler comme il le mérite. Et maintenant on va débusquer Dubosc, ils y passeront tous
putain j ai hate ! j’en salive déjà à l’idée de ce qu il va ramasser ce sombre trou du cul .Et je suis certain que tu vas faire ça dans les règles de l art du démontage comme d’hab . et je t en enverrais d autres au peloton d éxécution quand tu te serras occupé de lui ok ? merci encore à toute l’équipe vous etes des tueurs