Pourquoi les cyclistes sont détestés ?
Ce n’est un secret pour personne : Il existe un consensus en France, et même dans le monde, autour de la détestation que tout un chacun porte envers les cyclistes. Ces « athlètes » que l’on peut souvent voir évoluer sur nos routes de ville et de campagne avec leurs jambes épilées et leurs visages d’ahuris à cause de leur langues pendantes sous la chaleur écrasante sont souvent qualifiés de « sportifs du dimanche » et unanimement haïs de tous, oui tous sans exceptions, pour des raisons aussi diverses que variées.
Parfois affublés du surnom, un brin moqueur, de « cyclopathes » voire carrément du terme de « sales enculés » lorsqu’ils doivent être décrits de façon plus réaliste, les cyclistes ne laissent personne indifférent. Aujourd’hui ClodoNews tente de percer le mystère de la haine anti cycliste et d’analyser les raisons qui nous poussent à exécrer les pédaleurs immatures et leurs bicyclettes ridicules :

Leur apparence ridicule
Que ce soit dans le sport comme dans la vie de tous les jours, porter une tenue d’une laideur intolérable vous vaudra les foudres de votre entourage et ce sera mérité. Le vélo ne déroge pas à a règle.
Hormis les joueurs de Quidditch ou les lutteurs (car la vraie lutte se pratique tout nu et le corps huilé) peu d’autres personnes peuvent se vanter d’être aussi inesthétiques qu’un cycliste. Ceci est vérifiable lorsque vous devez vous les coltiner sur les petites routes de montagnes quand, lors d’une montée abrupte, ces olibrius dandinent leur petits culs affublés de moule bite immondes tout en pédalant en danseuse. Cette vision d’horreur provoque automatiquement une réaction toute naturelle qui se traduit par l’envie d’éclater ces petits fdp. Vous vous sentirez investis d’une grande mission et devrez les punir à la hauteur du crime qui est le leur : exister et de se mouvoir dans le même espace que nous, les gens normaux, alors qu’ils ont un corps dégueulasse et une passion pathétique. Déjà qui a une passion en 2023 ? Qui aime toujours faire des trucs ou des activités passé l’âge adulte ?
Mais le comble du pathétique n’en reste pas moins les cyclistes portant des casques. Des casques bordel. Non contents de leur accoutrement déjà ridicule à la base, il faut en plus qu’ils annihilent le peu de virilité qui leur restait en couvrant leur tête d’un outil de protection. Oui vous m’avez bien entendu : de protection. Car le cycliste est une flipette. Il ressent la peur. Il craint le petit bobo à la tête qu’il risque de se faire en… Je ne sais pas d’ailleurs. Le cyclisme n’est même pas un sport extrême comme ceux que nous, les alphas, pratiquons habituellement. Je fais par exemple de la plongée sous-marine et je n’ai jamais eu besoin de casque moi, alors que mon sport est pourtant une vraie discipline dangereuse.
Avec leur casques et leurs lunettes de soleil, les cyclistes pensent se donner une image de bad boy à la Schwarzenegger dans Terminator. Quand on les voit, on a vraiment l’impression que le vélo est un sport de combat hyper dangereux qui requiert d’être taillé comme un T-800. Mais soyons sérieux un instant. Avez-vous déjà vu une personne de plus de 60kg faire du vélo ? Non. Bien entendu. Le cyclisme est réservé aux morphologies frêles. Les cyclistes sont majoritairement des exosquelettes rachitiques rattachés à un visage tout desséché, quasi momifié comme celui de Romain Bardet, par exemple, pauvre âme qui aura sacrifié son corps pour sa futile passion du vélo.

Le cycliste subit moult dégradations physiques que les médecins comparent à celles provoquées par l’exposition aux rejet radioactifs de Tchernobyl en 1986.
Enfin, si il est important d’humilier les cyclistes pour la seule raison de leur apparence il faut tout de même savoir faire preuve de probité et reconnaitre une certaine utilité à leurs tenues ridicules : elles permettent de les différencier facilement. C’est comme si ces vermines qui pullulent sur nos routes tenaient à se démarquer d’elles-mêmes, comme si elles portaient sur elles en permanence un panneau avec écrit « frappez-moi je ne suis qu’une sale victime de cycliste de merde ». Ainsi vous remarquerez très rapidement que les cyclistes vêtus d’un gilet jaune réfléchissant sont les pires. Ce sont souvent des putains d’extrémistes écolos à la con qui tiennent à être vu la nuit, non pas par soucis pour les automobilistes, mais plutôt pour éviter de heurter un animal au milieu de la route. Ils sont donc résolument fragiles. D’une part car ils respectent la loi à la lettre comme d’ennuyeux petits premiers de la classe mais aussi car ils ont le combo des enfers : casque + gilet.
Je préfère à la limite les vieux croulants du dimanche, ceux qui ne prennent le vélo uniquement durant l’été car ils ont vu le Tour de France à la TV mais qui pourtant se ruinent pour porter tous les maillots et vêtements officiels des coureurs professionnels. Un choix vestimentaire douteux étant donné que leur grosse bedaine n’y est pas adaptée et n’a qu’une seule envie : s’échapper par le moindre espace de peau non recouvert. Les coureurs professionnels eux au moins sont payés par leurs sponsors pour porter ces accoutrements ridicules mais les cyclistes du dimanche, eux, sont de colossaux pigeons qui ne touchent même pas un rond ! Pire, ils payent à prix d’or tout ce fatras commercial et ils en sont fiers. Pendant une ou deux heure l’après-midi ils se sentent comme Armstrong alors qu’ils vont pourtant plus vite en roulant en boule sur le sol qu’en pédalant.
Ils crient beaucoup, sans vraiment d’explications
Qu’est ce que ça peut gueuler un cycliste bordel. Vous voyez les féministes aux petits nibards et aux touffes mal rasées qui défilent dans les rues tous les 4 matins ? Vous voyez les vieilles carnes qui occupaient le métier de documentalistes au CDI et qui se mettaient à hurler si le moindre stylo d’un élève avait l’outrecuidance de tomber par terre pendant qu’elles étaient en train de trier leurs livres par ordre alphabétique pour la 51ème fois de l’année ? Et bien le cycliste est l’enfant de ces deux parents hystériques. Il est le fruit d’une union de tarés et beugle deux fois plus fort que tout le monde.
C’est simple : la moindre action d’une personne tierce entraîne l’ire du cycliste. Si une voiture passe à coté d’un vélo alors vous pouvez être sûr que le cycliste va se mettre à vociférer comme un mongolien avec sa face de con et vous tirer des bras d’honneur tout cela pour une raison encore inconnue.
Parfois ces fous furieux viendront même arracher votre rétro, comme cela sans raison, tout simplement car vous êtes rentré dans leur champ de vision. Le cycliste a un cerveau au fonctionnement très animal. Pour lui Objet inconnu = ennemi = réaction = cri primal et pour le cycliste, vous êtes l’ennemi car il n’aime que lui.

Ils polluent plus que les automobilistes
D’aucun disent que les cyclistes ont au moins l’avantage d’être moins polluants que les automobilistes. Encore une fois je crie à la Fake News. Il est temps qu’un grand journal d’investigation tel que ClodoNews rétablisse la vérité :
Tout d’abord les cyclistes polluent nos sols à cause des nombreux produits dopants contenus dans leurs urines. Cela n’aurait pas d’incidence si ces derniers attendaient d’être rentrés chez eux pour pisser aux toilettes comme tout le monde. Mais le cyclopathe n’a pas votre temps. Non messieurs dames, le cycliste est un athlète lui, il ne peut perdre son temps pour une pause pipi car il a un chronomètre dans sa tête qui le pousse à vouloir battre des records dont tout le monde, sauf lui, se fout allègrement. Il pisse donc dans une gourde prévue à cet effet sans même descendre de sa scelle et quand la gourde est pleine, il l’a jette comme un sauvageon sur le bord de la route. Le liquide corrosif est donc libéré et vient s’enfouir dans la terre, tuant récoltes, faune et flore.
Et ce n’est pas tout. En plus de participer à la pollution environnementale avec tout leurs produits de merde, la présence de ces gros bourrins sur nos route est aussi une pollution visuelle à cause de leur mocheté mais également une pollution sonore avec leurs grande gueules de cons.

Ils sont narcissiques et ne peuvent pas sortir sans filmer leurs exploits
Une autre raison qui n’aide pas les cyclistes à se faire des amis n’est autre que leur narcissisme et leur arrogance innée.
Le cycliste est comme un enfant, un enfant gâté même. Il n’a pas connu les épreuves de la vie qui font de nous des hommes et vit toujours dans le monde des bisounours où il croit que tout lui est dû. Ils ne sont jamais en tord dans leur cerveau à la construction inachevée. En conséquence, ils s’aiment tellement qu’ils ne peuvent s’empêcher de se filmer en continu dès qu’ils enfourchent leur monture.
GoPro de péquenaud sur le front, ils sortent à toute vitesse en ville dans l’espoir de capturer les futures altercations qu’ils ont planifié la veille de A à Z. De l’angle de caméra, jusqu’au type d’accident tout en passant par la rédaction de leur punchlines une fois qu’ils seront confrontés à une automobile ou à un piéton, rien n’est laissé au hasard dans le petit parcours du cycliste.
Certains d’entre eux vont même jusqu’à accélérer à l’approche d’une intersection pour provoquer un accident et pouvoir faire leur petit caca nerveux en vidéo avant de le diffuser sur le web. Ils pensent ainsi pouvoir montrer leur bravoure et s’inventer une virilité en se mettant en scène en train d’hurler sur des petites mamies qui tentaient de traverser le passage piéton.
Pire, ces grands couillons sont ensuite tout content de diffuser leurs actes honteux sur Youtube. Ils s’en sentent même grandis alors que tout le monde de fout de leur gueule en commentaires. Leurs exploits vidéos sont prétendument des « contenus de prévention » mais, dans le fond, tout le monde sait très bien qu’ils se filment pour combler leur déficit d’attention et de reconnaissance sûrement imputable à leur vie d’expert comptable marié à une femme RSAiste qui pète sous la couette la nuit et qui surtout leur pète les couilles à la maison (raison pour laquelle ils sont sur la route, loin du foyer, le plus souvent possible).

Vous ne vouliez pas être son voisin en 40
Ce sont des moralisateurs en puissance qui passent leur temps à faire la leçon
Etre déjà la pire merde possible parmi les usagers de la route ne suffit pas au cycliste. Ce dernier, pour parfaire son expérience de casse-couille de talent n’hésitera pas à vous lancer l’ultime provocation en venant vous faire la morale entre deux hurlements.
Ces véritables justiciers en collants pourront parfois descendre de leur vélo quand ils sont assez courageux, non sans vous avoir copieusement insulté pendant plusieurs minutes avant cela, pour se rapprocher de votre vitre et se lancer dans une diatribe interminable de votre façon de conduire. Etre critiqué sur sa conduite par un individu qui n’a même pas le permis (sinon il roulerait en voiture et non en vélo comme un enfant) est une expérience très désobligeante qui conduit parfois à la confrontation physique. Rassurez-vous, le gentil gagne toujours à la fin car l’automobiliste est généralement plus fort de constitution que le cycliste écolo.
Si vous n’avez pas cédé à la violence vous en serez donc quitte pour la logorrhée verbale de votre agresseur. Et il ne s’arrête pas bordel, Jeanne au secours… Des chercheurs ont démontré que le cycliste pouvait insulter sa victime pendant plus de 15 minutes sans discontinuer. Si le discours de ces avortons ne vous intéresse guère, vous pouvez reprendre votre route. Le cycliste tentera de vous poursuivre comme un petit chien, un petit roquet baveux, qui court après les voitures comme un gros débile, il imitera également très bien les aboiements du canidé d’ailleurs.

Ils font les fous sur leurs scelles mais une fois sous les roues d’une voiture y’a plus personne
En conclusion, le conseil de la rédac serait de ne pas se laisser cuckifier face au vulgaire cycliste. Ils parlent beaucoup quand vous êtes dans l’habitacle de votre bagnole mais une fois sur le pavé ils font moins les marioles.
Moi perso je leur mets des gros coups de pression et je leur colle bien au cul quand je suis derrière ces ploucs qui ralentissent tout le monde. Je klaxonne bien comme un bâtard et je leur jette mes mégots à la gueule quand j’arrive à leur niveau. Si ils commencent à faire les chauds je fais des petits zig zag dans tous les sens et je frôle leur roue arrière ça les calme direct vous verrez. Naturellement si j’en vois un griller un stop ou un feu rouge je m’improvise agent de la paix et je vais faire justice moi-même : je le trace et lui crie dessus en imitant le bruit des flics car je n’ai pas de vraie sirène. Si il refuse d’obtempérer alors je l’écrase comme au Brésil.

Depuis que je me fais respecter il y en a plus aucun qui moufte et dans ma ville, le seul bruit de mon 4×4 qui approche au loin suffit à ces pédales pour se faire dessus. L’autre jour j’en ai choppé un qui attendait au feu rouge, il devait avoir 7-8 ans max ce puceau et il avait encore les petites roues. Je me suis mis derrière lui et j’ai klaxonné et fait vrombir le moteur pour lui rappeler à qui appartient la route et lui faire comprendre que cette chaussée est trop petite pour nous deux. Et bien je peux vous dire que maintenant il doit être bien pressé de passer son permis et d’abandonner son vélo de fragile au plus vite.
Car oui, sur un vélo vous vous sentez peut-être invincibles en descente mais frérot, lors de la confrontation physique pour la bataille de la route, même si je suis légalement en tord je peux t’assurer que tu vas prendre plus cher que moi et je m’en fous. La carrosserie a vu des sangliers plus gros que toi. Peut-être que j’irais en prison mais toi tu ne seras même plus là et donc on pourra dire que en quelque sorte c’est moi qui ai gagné et que donc la voiture est supérieure au vélo.

Article rédigé par : Claude.

Quelle verve!
Je me sens moins seul a vouloir écraser ces fiottes en danseuses.
Le cycliste roule en groupe histoire d’occuper la chaussée
Je regrette pas l’achat de mon SUV crit’air 5 histoire de faire cracher la bête à chaque dépassement
Ils se sentent protégés en groupe alors que pour nous, les vrais hommes qui rions dans nos barbes viriles, nous voyons là une superbe opportunité pour réaliser le strike parfait depuis notre lourd 4×4.
J’adore, et c’est marrant parce que y a des trucs très vrais !
Moi perso l’info me plaît donc elle est vraie