On me demande souvent à la rédac « Hé José, c’est quoi ton body count à toi ? T’as du en dessaler de la morue toi mon champion. » et à chaque fois je me retrouve bien embêté car… je ne sais plus, j’ai perdu le compte tellement il y a eu de conquêtes. Et oui, et oui…
Que voulez-vous ? Nous sommes des hommes et la nature même des choses implique que nous fourrions à la pelle sans discontinuer dans une éternelle recherche de la satisfaction. C’est inscrit génétiquement et personne n’oserait remettre en question une telle évidence biologique.
Mais je sais également que j’appartiens à une certaine caste privilégiée. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir le même « body count » (comprendre le nombre de partenaires que l’on a abattu au lit) que moi. C’est un fait il existe plusieurs types de catégories de baiseurs entre les hommes mais, au delà de ça, il y a même des différences flagrantes entre hommes et femmes en termes de body count.
Alors messieurs dames, qui baise le plus ? Vous le découvrirez aujourd’hui grâce à ClodoNews, statistiques réelles et sourcées à l’appui, le seul journal qui n’a pas peur de dévoiler les chiffres qui dérangent :
Body count hommes VS femmes
Body count hommes : les chiffres
La plupart des hommes français ne sont pas des gros baiseurs. Et ce n’est pas moi qui le dit ! Afin de tirer cette conclusion je me base sur les enquêtes les plus précises et les plus cohérentes possible qui ne sont autres que les études menées par Institut national de santé publique du Québec. Jugez en par vous même :

Selon les données publiques, nous pouvons donc séparer les hommes en quatre catégories :
- Les sales puceaux : ils n’ont jamais eu de partenaire et aussi incroyable que cela puisse paraître ils représentent tout de même 21% de la population. Avec une telle mauvaise volonté, leur cas est probablement irrécupérable et ils ne s’affranchiront jamais de leur statut d’intouchable alors que pourtant le simple fait de sortir dehors et de prendre une douche réglerait le problème.
- Les feignants : Ils sont 41% d’hommes à n’avoir connu qu’un seul trou dans leur vie puis ils se sont dit « Ok j’arrête là c’est bon j’ai fait le taf ». A croire que le reste des femmes va se combler tout seul.
- Les honnêtes travailleurs : 31% des hommes ont baisé entre 2 et 6 femmes dans leur vie. C’est pas des scores de ouf certes mais cela peut s’expliquer par la volonté qu’ont certaines personnes de vouloir forniquer dans la moralité (pas trop de partenaires, tenter de s’attacher émotionnellement à la même personne, éviter les tromperies). Bref, des mièvreries que l’on ne devrait trouver normalement que chez le sexe opposé mais bon, on va pas émettre de jugements c’est pas le style du journal.
- Les vrais hommes : Voilà, là on rentre enfin dans le concret avec les 7% de bonhommes qui assurent à eux seuls la survie de leur espèce en baisant tout ce qui bouge. Ils sont le véritable modèle et la source d’inspiration pour tout mâle débutant dans le monde du sexe.
Mais sans vouloir offenser nos amis chercheurs Québécois, qui sont sûrement très compétents dans leur domaine, du moins chez eux, avec leurs propres standards, l’étude me parait incomplète. En tant que français et disposant donc bien évidemment d’une meilleure vision scientifique et de moyens matériels plus important que des culs-terreux au dialecte inaudible, je ne peux m’empêcher de préciser deux catégories supplémentaires :
- Les bons vivants : Il s’agirait d’une catégorie honorable, comprenant des hommes ayant niqué entre 50 et 100 partenaires dans leur vie. Le genre de types qui ont mené une belle existence, souvent en enchaînant beaucoup durant leur jeunesse puis qui se sont finalement posé plus tard avec une moyenne de 50 rondelles percées. Ces guerriers ont fait honneur à la France et les portes du Valhalla et du repos éternel leurs sont ouvertes.
- Les légendes : C’est la catégorie à laquelle votre journaliste préféré appartient. Celle des hommes qui ont tellement niqué (on parle même plus de dizaines ou de centaines mais de milliers) qu’ils ne se rappellent même plus leur body count. Tout ceux qui vous sortiront des chiffres précis du style « 327 » ne sont que des menteurs, des bluffeurs, des tartarins, des matamores… Ou alors ça veut dire qu’ils ont noté chacune de leur conquêtes sur un carnet et qu’ils sont donc des « prouveurs », soit des puceaux mentaux qui n’en reviennent même pas d’avoir baisé qu’ils se doivent de l’écrire quelque part. Ils n’ont donc pas confiance en eux et ne méritent pas de faire l’amour. Par conséquent ils doivent rendre les femmes qu’ils ont niqué à la société qui en fera un meilleur usage.
Maintenant que nous avons toutes les données en mains pour comprendre les dynamiques de cul de la société masculine, il est temps d’établir un graphique de qualité supérieure réalisé à l’aide d’outils performants tels que le logiciel Excel (utilisé par la NASA), avec des pourcentages plus précis et un style de présentation qui fera date dans l’histoire de la science du sexe :

C’est quand même bien mieux lisible maintenant comparé au travail des québécois
Certes, connaitre le nombre de partenaires moyen des français est une donnée éminemment intéressante que tout le monde désire découvrir. Mais pourquoi ne pas pousser le travail scientifique encore plus loin en s’attaquant vraiment à ce qui intéresse vraiment le chercheur : A quoi ressemble physiquement l’individu selon son body count ? A quoi ressemblent leurs gueules ?
Rassurez-vous, la cellule scientifique de ClodoNews s’est également penchée sur le sujet. Là encore en suivant un protocole méthodique se basant sur des expérience réelles, nous avons pu déterminer de façon savante comment distinguer un puceau d’un baiseur. C’est tout de suite bien plus divertissant. Comme quoi on peut apprendre en s’amusant :

Body count femmes : les chiffres
Avec les femmes tout est toujours plus simple et demande bien moins de travail de réflexion. C’est limpide il n’y a que trois catégories de baiseuses parmi le genre féminin. N’ayant pas pu trouver de source québécoise fiable, les données vous seront fournies par les propres soins de la Clodo Research Institute :
- Les vierges immaculées : Ce sont les femmes les plus intactes possibles, celles qui n’ont jamais eu de partenaire. Leur virginité est tout logiquement ce qui constitue leur unique valeur pour les hommes mais elles sont en revanche extrêmement rares (à peu près 1% des femmes) du fait de leur pureté. Ce sont des statistiques facilement explicables étant donné que tout être masculin sensé préfère bugner de la vierge mais, une fois fait, celle-ci n’est plus vierge et la qualité du produit est donc altérée et passe dans la catégorie suivante.
- Les consommées : Ce sont les femmes qui auraient pu être bonnes à marier mais qui ont malheureusement connu un partenaire sexuel dans leur vie. Dommage, elles étaient si proches du but mais leur carrière a tourné court. Elles composent à peu près 17% des femmes comme ça je dirais à vue de nez.
- Les grosses salopes : Une femme devient automatiquement une grosse salope à partir de 2 partenaires sexuels connus, c’est malheureusement la règle. Elle représentent généralement le dernier choix quand les autres femelles sont indisponibles. Comble du malheur : elles sont haram. Il est important de noter que notre société est composée à 82% de salopes. Vous vous demandez surement comment notre équipe a pu obtenir ce chiffre ? C’est très simple : Nous prenons une base de 100% (jusque-là c’est logique) à laquelle nous soustrayons les 1% de vierges et les 17% de consommées et nous obtenons le chiffre de 82%, ce n’est pas de la magie, c’est de la science.

En gros ça donne à peu près ça. Source : Moi
Quelles conclusions tirer de nos travaux de recherche ? Encore une fois les femmes souffrent de la comparaison et prouvent qu’elles ne peuvent que rarement être dignes de confiance au moment de l’accouplement. Là où, à la rigueur, un homme qui enchaîne les gonzesses peut-être apprécié pour son expérience et sa rareté, la salope, elle, est une cagole qu’on trouve à tous les coins de rues ! Quel intérêt pour l’homme pardi ! Peut-on décemment présenter un karting à ses amis quand tout le monde rêve d’une F1 ? Mais c’est un débat parallèle…
Données additionnelles : le body count des indiens
Un résultat surprend cependant toute notre équipe à tel point qu’il est important de le noter en complément des chapitres précédent : le body count des indiens est anormalement bas.

Alors qu’ils sont réputés pour être de redoutables séducteurs et donc que l’on pourrait légitimement les prendre pour des féroces baiseurs, l’indien moyen ne défouraille pourtant que deux femmes différentes dans sa vie.
Un score décevant pour nos amis moustachus mais qu’il est pertinent de mentionner. Non pas parce que les français en ont quelque chose à foutre de comment ça baise en Inde, mais bien car c’est tout un mythe du séducteur qui s’effondre sous nos yeux.
Article rédigé par : José 

Les levrettes données à la voisine en voyage astral ça compte? Et les animaux ? Et les végétaux ? Et si on jouit en se frottant dans le métro ?
Ça change tout…
Non. Il faut contact physique (bite entre dans chatte) pour que ce soit comptabilisé. Sinon tu es un tricheur et, à fortiori, un piètre baiseur. Désolé c’est pas moi qui le dit c’est écrit dans un livre.
Alors je vais me branler sur votre journal si c’est comme ça.
Cordialement,
Mais il est fait pour ça pardi !
Par contre Soral c’est 300 conquêtes selon le reportage de séduction
Et en plus il ne baise que les femmes des autres sinon ça ne l’intéresse pas
ah ah totalement d’accord ! Des fois lorsque tu sors du période de chance tu te mets a compter… Et oui le choix ne nous revient pas mais on peut toujours essayer de se faire remarquer et assumer notre inssousience pour espérer avoir une chance de conclure avec le second choix ou en attendant de faire mûrir son idylle… 😂😂