Camille Lacourt et les femmes : la tragique malédiction du baiseur

Si la vie de sportif célèbre, les médailles, la gloire éternelle et surtout le bon paquet de pognon qui en découle peuvent en faire rêver certains, d’aucuns ignorent que le destin d’un athlète de haut niveau n’est pas toujours rose.

Au delà des avantages conférés par le soudain gain de popularité que connait un sportif au sortir d’une victoire de prestige, la pression que ces derniers finissent par endurer est bien plus marquante que n’importe quel titre mondial. Pour Camille Lacourt, quintuple champion du monde de natation, la pression ne se trouvait pas dans les bassins des plus grandes compétitions internationales mais bien dans sa terrible malédiction : Le sexe.

Oui le sexe, les rapports débridés, l’addiction à la baise sauvage chaque jour avec des fans décérébrées toutes plus bonnes les unes que les autres et les plus belles femmes mannequins du monde entier… Voilà le quotidien cauchemardesque auquel le beau gosse des bassins a été, et est toujours, assujetti. Pour les besoins de notre article, le nageur malheureux revient sur la noirceur de son destin : celui de fourreur prédestiné.

Camille Lacourt et les femmes : l’entretien choc

« J’étais comme condamné à baiser, malgré-moi bien entendu »

Tout a commencé quelques heures à peine après son sacre européen à Budapest. Alors, sur le toit du vieux continent, le nageur fête dignement sa médaille d’or en enchaînant les soirées arrosées mais surtout en enchainant les turbos gonzesses de malade. Un mode de vie auquel le timide sportif n’aurait même pas imaginé vivre un jour : « Je suis quelqu’un de très pudique, bien que mon corps soit parfait et mes abdos excellement bien déssinés, je suis toujours très mal à l’aise lorsque je dois rentrer torse nu dans une piscine ou quand, en l’occurence, je me retrouve forcé, bien malgré-moi, à exhiber ma silhouette de dieu grec sur le pole dance lors de ce que j’appellais « mes soirées friponnes« . »

L’infortuné Camille se retrouve donc exposé, sans le vouloir, aux yeux de toute la jet-set et du gratin médiatique mais surtout, il attire soudainement l’attention de toutes les putes professionnelles, un groupuscule hautement connu pour agir dans toutes les soirées mondaines. « J’ai d’abord pensé au traquenard quand j’ai vu un véritable lâché de salopes fondre sur moi. On m’a dit « Camille c’est parce que tu es riche maintenant ! » ce que je ne pouvais pas croire un seul instant. Je ne suis qu’un nageur vous savez, avec un salaire modeste bien que j’ai pu dépasser péniblement les quelques millions de revenus après mes sacres. Je ne pouvais donc pas imaginer une seule seconde que ma piteuse situation financière puisse attirer quiconque. C’est donc là que j’ai compris : les femmes étaient en fait intéressées uniquement par mon physique de ouf. Bien que vous ne puissiez sûrement pas le comprendre car vous ne l’avez pas vécu : être considéré comme un simple sex symbol et rien d’autre est extrêmement blessant. Je subis un trauma ainsi qu’une énorme perte de confiance. »

« Aujourd’hui j’ai la bite en oignon »

Quelque soient les raisons de son succès, l’angélique sportif se retrouve pris dans une spirale infernale : « je vais faire l’amour avec une fille chaque jour et puis je me suis dit, non deux, puis trois ! Vous savez que j’aime battre les records alors je vais scorer, mais alors bien comme il faut ». C’est alors qu’une cadence inhumaine s’intensifie pour l’athlète français : « J’en suis arrivé à 15 chattes par journées. Elles y passaient toutes : putes, fans, femmes au foyer, hommes au foyer, journalistes, secouristes… même la femme de Stéphane Guillon c’est pour vous dire« .

Un quotidien que nous ne pouvons qu’imaginer douloureux et que personne d’autre ne souhaiterait connaitre se dessine alors pour Camille Lacourt : « Je vous remercie pour votre compassion, vous n’avez même pas idée de la chance que vous avez de ne pas être moi. Moi je me lève, je gagne des titres et je baise des mannequins et j’ai à peine la trentaine. C’est ça mes journées, en boucle. Je ne sais pas combien de temps je vais tenir avant de me foutre en l’air. » et qui a d’ailleurs laissé de profondes cicatrices au champion éprouvé : « Aujourd’hui j’ai la bite en oignon. Je me sens sali. Les produits dopants me permettent de tenir la distance mais je ne sais pas combien de chasseresses pourrais-je encore satisfaire.« 

Camille Lacourt et « Femme37482 » qui a partagé sa vie entre le 25/03/2014 et le 26/03/2014

« Je veux juste être considéré comme un lambda, un être moyen comme vous ».

Condamné à fourrer, l’apollon olympique se veut pessimiste sur son avenir : « Si seulement j’avais l’opportunité de me ranger, de me trouver une femme sérieuse et de fonder une petite famille je le ferais. Mais être né beau implique de grandes responsabilités. Je ne peux échapper à mon sort de sérial niqueur, j’ai des records à faire tomber; Tremble Chauve De Brazzers« .

L’athlète s’est donc sacrifié pour la France, en l’échange de quelques médailles, Camille Lacourt a légué sa pureté et sa prostate à la nation. Une vie qui, si elle était à refaire, serait bien différente pour le sportif au constat amer : « Je n’ai pas choisi mon visage. Au final, j’aurais juste aimé être comme monsieur tout le monde, un lambda, un être moyen comme vous. Avoir mon petit CDI, ma petite Magalie, mon petit French Dream. Le sexe et la gloire c’est l’enfer. Si je n’avais qu’un conseil à donner aux jeunes des écoles de natation ce serait d’être laid, bien laid pour que personne ne vienne perturber votre carrière, ou alors, mais c’est bien plus extrême, d’opter pour la pratique d’un bon sport de merde comme l’Ultimate Frisbee qui fera à coup sûr fuir la gente féminine. On a déjà vu des groupies de lanceurs de frisbee ? Ca existe ça ? (rires)« 

« J’aurais voulu être informaticien ou CPE »

C’est ainsi que se clôt notre entretien choc avec Camille Lacourt, que nous avons libéré de la rédac un peu plus tôt que prévu car il avait partouze à 17h. Le portrait de l’homme meurtri, qui a fait don de sa vie à la femme nous permet de tous relativiser et de voir d’un œil différent nos petits tracas et caprices du quotidien. Et vous chers lecteurs, qu’avez-vous pensé du funeste destin du Don Juan de la natation ? N’hésitez pas à nous l’indiquer dans les commentaires et surtout de faire un petit don sur la cagnotte leetchi de Camille, qui en a bien besoin, d’autant plus que Macron n’a pas étendu la gratuité des capotes aux plus de 25 ans ni aux français les plus nécessiteux comme Camille Lacourt et Ruquier.

Article rédigé par : Freddy les bons tuyaux.